02 juill. 2009 - 08:00
Ca avait pourtant plutôt bien commencé.
Départ de Washington, mercredi à la mi journée. Je n'ai pas encore fermé la portière du taxi qui m'emmène à l'aéroport que le chauffeur éthiopien, qui ne sait ni où je vais ni ce que je vais faire, m'entreprend sur la mort de Michael Jackson. Le meilleur, le plus talentueux, une perte immense, me dit il. Lorsque je lui raconte que je suis justement en partance pour la Californie, pour aller voir comment se passe l'hommage des fans prévu vendredi à Neverland, il est tellement bouleversé qu'il en oublie de mettre son compteur en marche... "C'est Dieu qui te permet d'aller là bas, me dit-il, tu es bénie".
Soit.